La Presse en parle
Beethoven ne semblent pas troubler Julie Alcaraz. Rien d’emphatique ni de pontifiant, aucune affectation inutile. La pianiste traverse cette œuvre monumentale avec une fraîcheur infinie, comme si elle venait de la découvrir.
Marion Platero chante éperdument, Julie Alcaraz soutient le discours avec sa belle et ronde sonorité, dose magnifiquement les épisodes d’accompagnement et les parties émergentes.
Julie Alcaraz plonge dans ses racines ibériques et nous raconte l’Espagne d’Albéniz. Nostalgie contemplative d’«Evocation», avec de si belles couleurs, un parfum si prenant
Julie Alcaraz, une virtuose à plusieurs facettes